On est d'accord, ça fait partie du jeu. C'est même dans la droite lignée d'un état d'esprit du web, partagé par un très grand nombre d'utilisateurs. A partir du moment où on diffuse, on s'accorde à laisser libre court à toutes les utilisations de nos productions...

Copyright oblige...

R2D2 délivrant le message de la Princesse Leila...

Mais Internet prend de la bouteille... et devrait d'une manière ou d'une autre arriver à réguler le flux de ses informations passées comme par miracle libre de droits... ! Vaste débat. C'est vrai. Encore faudrait-il trouver les moyens - et l'envie - de contrôler le réseau des réseaux.

Une chose semble au moins acquise au plus grand nombre : l'auteur, le propriétaire d'une œuvre doit pouvoir expressément stipuler qu'elle est destinée à un certain type d'usage. Autrement dit, refuser qu'elle se ballade sans rien demander à personne... Le web respecte aussi le travail de chacun.

CANAL+ MULTIMEDIA, en tant que fournisseur de contenu et responsable éditorial du 2ème Monde et du Journal du 2ème Monde se doit de veiller au respect du Code de la Propriété Intellectuelle. Don't panic, ça paraît stress c'est pourtant très simple.

Exemple tout bête. Exercice à l'appui.
En plus tout les tords sont pour la rédaction du Journal ;-)

1 - Fidèles parmi les fidèles, nous téléchargeons tous les vendredis le patche du Marché Virtuel de l'Ile de la Cité par Philibert... ou "Comment AGIR sur le 2ème Monde".
Le Journal aime, donc nous en faisons la publicité et vous proposons un lien vers son site de téléchargement.

2 - Nous nous retrouvons hélas rapidement devant un souci bien réel. La photo d'une œuvre que notre maigre culture en histoire de l'art attribue prétentieusement à Brancusi !!!

Persuadés ne pas avoir les droits de la photo, nous ne pouvons continuer à faire la publicité du patche et laisser un lien du Journal à son site...
En fin de compte... : Il s'agissait en fait d'une dent de requin largement zoomée par Philibert lui-même !!

Quiproquo et malentendu, tout le monde est perdant dans l'histoire. Les abonnés en premier lieu. Erratum.

Aussi pour éviter ce type de "contretemps", nous proposons aux concepteurs des contributions dont nous faisons la promotion, de nous renvoyer une autorisation de diffusion. Ceci ne concernant que les apports sur lesquelles un doute peu toujours exister, plus particulièrement pour les photos, les fichiers sons...

Modèle de lettre à renvoyer à CANAL + MULTIMEDIA
Un formulaire électronique sera prochainement à votre disposition.

Undemi